Comment les athlètes sérieux peuvent-ils éviter de manger de la malbouffe ???
Au cours des dernières semaines, j’ai évité la restauration rapide, les bonbons, les glucides simples et toute autre « mode » à laquelle je pouvais penser pour votre nourriture. Malheureusement, la lutte contre ma dent sucrée ne s’est pas atténuée. Marre de cela, j’ai approfondi les raisons pour lesquelles nous aimons manger des ordures.
Les primates sont omnivores, ce qui signifie que nous mangeons à peu près tout ce qui roule, nage, marche ou 
passe à côté de nous que nous pouvons digérer sans répercussions graves. En effet, nous sommes des prédateurs opportunistes : tout au long de notre histoire évolutive, nous avons dû obtenir l’énergie nécessaire pour survivre à partir de toutes les ressources que nous pouvions trouver. En conséquence, nous sommes programmés pour rechercher les aliments les plus riches en énergie, car ceux-ci rapporteront la plus grande récompense pour le travail que nous consacrons à la chasse et à la cueillette.
Nous le faisons encore aujourd'hui, mais au lieu de courir, grimper ou soulever des poids pendant plusieurs heures, nous nous asseyons, marchons et achetons notre nourriture. Heureusement pour nous, nous n’avons pas besoin de courir pour sauver notre vie afin de maintenir une alimentation saine. Cependant, cette terre d’abondance a conduit à une disponibilité excessive de types d’aliments inappropriés pour un mode de vie non actif et les mauvaises habitudes alimentaires sont difficiles à briser !
S'entraîner pendant un ha 
En cas de marathon, je cours 5 soirs par semaine et j'ai depuis atteint une course constante de 4 milles chaque soir. J'ai eu beaucoup plus d'énergie tout au long de la journée, mais je mentirais si je disais que je n'ai pas mangé ma juste part d'« aliments tricheurs » après mes séances d'entraînement. En discutant de cela avec mon médecin, qui était autrefois un athlète professionnel, il m'a informé que je pensais à mon alimentation à l'envers. Au lieu de décider quels aliments supprimer, je devrais découvrir ce que je devais inclure.
Il est contre-productif de lutter contre notre nature, donc au lieu d’éviter des aliments ou des groupes alimentaires spécifiques, je devrais considérer ce que je mange comme une source de carburant comme l’essence l’est pour une voiture. La distance ou les objectifs que l'on souhaite atteindre peuvent être atteints en ajoutant la quantité appropriée du bon mélange énergétique : les protéines, les glucides et même les sucres simples sont nécessaires à une variété d'entraînements de résistance, d'endurance et de puissance.
Dans cette optique, « La nourriture est un carburant » est désormais mon mantra ces jours-ci. Au lieu d’éviter les glucides et d’essayer de faire le plein de protéines, je répartirai les aliments afin de pouvoir atteindre mes objectifs sportifs et esthétiques sans trop remplir le réservoir, pour ainsi dire.
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